CALIBRES SPÉCIAUX
» Les calibres mentionnés dans cet ouvrage se réfèrent généralement à des normes qui ne prévoient, dans la majorité des cas, que le contrôle élémentaire de caractéristiques, mais pas forcément le contrôle combiné de caractéristiques (lisses et filetées par exemple). Cette section du catalogue permet de montrer des applications ou options spécifiques des calibres de contrôle.
» Le contrôle de montabilité par exemple est intéressant dans la mesure où il matérialise le plus fidèlement possible l’assemblage entre la pièce à contrôler et la mesure matérialisée que constitue le calibre ou gabarit. Cela permet de visualiser et « sentir » l’assemblage et ainsi avoir une idée du fonctionnement.
» Des repères de longueur ou des collerettes peuvent y être ajoutés de façon à vérifier non seulement une dimension, mais aussi sa profondeur.
» Les moyens automatisés nous ont poussés à la fabrication de calibres spéciaux ou de montabilité en leur ajoutant des moyens de préhension étudiés pour des moyens automatisés (carrés, six pans…), des chanfreins spéciaux à l’entrée, des couples de rupture particuliers et d’autres caractéristiques nécessaires pour ce type de fonctionnement.
» La dureté superficielle des calibres donc leur durée de vie peut être améliorée par des revêtements de surface. Appliqués en couche mince (1 à 1,5 μm), ils permettent d’éviter les effets de pointe et de pouvoir rester dans des petits intervalles de tolérances sur des diamètres lisses, filetés ou des dentures. D’autres permettent aussi l’amélioration du glissement dans le cas d’usage intensif.
» D’une façon générale, le domaine du calibre ou de la mécanique de précision permet d’offrir des accessoires complémentaires aux machines de contrôle plus sophistiquées comme les machines 3D par exemple pour le positionnement de pièces ou la matérialisation géométrique de certaines caractéristiques compliquées à palper.
» Le contrôle de montabilité par exemple est intéressant dans la mesure où il matérialise le plus fidèlement possible l’assemblage entre la pièce à contrôler et la mesure matérialisée que constitue le calibre ou gabarit. Cela permet de visualiser et « sentir » l’assemblage et ainsi avoir une idée du fonctionnement.
» Des repères de longueur ou des collerettes peuvent y être ajoutés de façon à vérifier non seulement une dimension, mais aussi sa profondeur.
» Les moyens automatisés nous ont poussés à la fabrication de calibres spéciaux ou de montabilité en leur ajoutant des moyens de préhension étudiés pour des moyens automatisés (carrés, six pans…), des chanfreins spéciaux à l’entrée, des couples de rupture particuliers et d’autres caractéristiques nécessaires pour ce type de fonctionnement.
» La dureté superficielle des calibres donc leur durée de vie peut être améliorée par des revêtements de surface. Appliqués en couche mince (1 à 1,5 μm), ils permettent d’éviter les effets de pointe et de pouvoir rester dans des petits intervalles de tolérances sur des diamètres lisses, filetés ou des dentures. D’autres permettent aussi l’amélioration du glissement dans le cas d’usage intensif.
» D’une façon générale, le domaine du calibre ou de la mécanique de précision permet d’offrir des accessoires complémentaires aux machines de contrôle plus sophistiquées comme les machines 3D par exemple pour le positionnement de pièces ou la matérialisation géométrique de certaines caractéristiques compliquées à palper.